Les Révolutions de Copernic
Commentaires sur le Livre 4
par Pierre Paquette · 13 août 2023

Introduction          🞄          Livre 1          🞄          Livre 2          🞄          Livre 3          🞄          Livre 4          🞄          Livre 5          🞄          Livre 6


1. Théorie lunaire de Ptolémée · La Terre est en T, la Lune en L, et le soleil moyen en S. Les autres points sont expliqués dans le texte principal. Le diagramme est à l’échelle, mais le temps est environ 5 000 fois plus rapide qu’en réalité.
A D É L M P S Π T 🐾 ⏮️ ⏯️ ⏭️️

En ce qui a trait au mouvement de la Lune, Copernic vise à résoudre quatre grands problèmes du modèle de Ptolémée. Dans celui-⁠ci est importante la direction du soleil moyen (ligne dorée et point S dans l’animation), qui augmente uniformément de 0;59,08,17,13,12,31° par jour. Centré sur la Terre (point T), on trouve d’abord le circulus parvus (littéralement, « petit cercle » ; en cyan) de 10;19 unités arbitraires de rayon, valeur correspondant à l’excentricité lunaire. Depuis la direction du soleil moyen, le centre (D) du déférent lunaire (ou excentrique), un cercle de 49;41 unités arbitraires de rayon (vert lime), parcourt sur le circulus parvus un angle η̄ = STD, l’élongation, qui croît de 12;11,26,41,20,17,59° par jour vers l’ouest. Le centre (É) de l’épicycle (d’un rayon de 5;15 unités arbitraires ; en rose foncé) parcourt, sur le déférent, un angle STÉ aussi égal à η̄, mais vers l’est.

À l’opposé du centre du déférent par rapport à la Terre, et à la même distance, on trouve le point de prosneuse (P) . Le mouvement de la Lune sur son épicycle, appelé anomalie moyenne (α̅), se fait au rythme de 13;03,53,56,17,51,59° par jour en sens horaire, par rapport à une ligne imaginaire (PM) allant du point de prosneuse au côté opposé de l’épicycle.

Ce modèle est le troisième que Ptolémée a échafaudé, découvrant à chaque étape des particularités du mouvement lunaire qui n’avaient jusque-⁠là pas été notées. Dans le premier, la Lune tournait simplement, à vitesse constante, sur un épicycle qui se déplaçait à vitesse constante sur un déférent centré sur la Terre ; il convenait pour les syzygies (pleine ou nouvelle lune), mais pas pour les quartiers. Il a introduit l’excentricité et la direction variable du déférent dans le second modèle, mais cela ne donnait toujours pas de bons résultats à 45°, 135°, 225°, et 315° d’élongation par rapport au Soleil ; c’est donc là qu’il a introduit le point de prosneuse, une « inclinaison » de l’épicycle lunaire vers un côté ou l’autre de la Terre. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui l’évection, considérée par Pedersen (1984) comme « une des plus importantes contributions personnelles de Ptolémée à l’astronomie ».

Mais aussi importante qu’elle eût été, cette contribution n’était ni parfaite ni complète, et nous en arrivons donc aux points que Copernic a cherché à améliorer :

2. Théorie lunaire de Copernic · Les points T, L, et S représentent respectivement la Terre, la Lune, et le soleil moyen, comme dans l’animation 1 ci-⁠dessus. Le reste est expliqué dans le texte principal. Encore une fois, le diagramme est à l’échelle, mais le temps s’écoule 5 000 fois plus rapidement qu’en réalité.
A É L P S T 🐾 ⏮️ ⏯️ ⏭️️

La théorie lunaire de Copernic

Copernic modifie grandement le modèle lunaire. Ainsi, l’excentricité est abolie (bien qu’il indique qu’un modèle excentrique serait possible), pour être remplacée par un deuxième épicycle. On trouve donc un déférent (bleu), d’un rayon R = 10 000 unités arbitraires et centré sur la Terre (T), sur lequel tourne un premier épicycle (rose), d’un rayon r1 = 1 097 unités, que suit enfin le second épicycle (vert lime), d’un rayon r2 = 237 unités.

Le point de départ des mesures demeure le soleil moyen (S), qui se déplace uniformément vers l’est au rythme de 0;59,08,11,22°/jour ; le centre du grand épicycle (É) se déplace sur le déférent, vers l’est, d’un angle η̄ = STÉ = 12;11,26,41,31°/jour (valeur très proche de celle de Ptolémée) par rapport à la direction du soleil moyen.

Le centre du petit épicycle, quant à lui, se déplace vers l’ouest, de l’angle α̅ = AÉP = 13;03,53,56,30°/jour — l’anomalie moyenne, encore très près de la valeur donnée par Ptolémée — à partir de la prolongation de la droite imaginaire allant de la Terre au centre du grand épicycle (point A).

La Lune avance enfin sur le second épicycle d’un angle LPÉ = 2η̄ ≈ 24;23°/jour, aussi vers l’est, mesuré à partir d’une ligne imaginaire allant du centre du petit épicycle (P) au centre du grand.

Tableaux du mouvement lunaire

Les trois premiers tableaux fournis par Copernic ne sont formés que de l’addition successive de leur première rangée respective ; je ne les reprends donc pas ici. Le premier tableau donne le mouvement moyen journalier et annuel ; le second, l’anomalie moyenne journalière et annuelle ; et le troisième, l’argument de latitude, c’est-⁠à-⁠dire le mouvement journalier et annuel moyen du point de référence de la latitude (13;13,45,39,22°/jour).

Le quatrième tableau est celui des prostaphérèses lunaires ; autrement dit, la mesure des angles intermédiaires ou « corrections » permettant de calculer la position réelle de la Lune. Leur calcul rappelle celui des angles intermédiaires de la théorie solaire. Nous avons cette fois un tableau de sept colonnes, dont les deux premières sont, comme pour le Soleil, les « nombres communs », c’est-⁠à-⁠dire les angles pour lesquels nous recherchons les corrections. Les autres sont :

·   c3 : Prostaphérèse du second épicycle. sin c3(2η̄) = r2 sin 2η̄r(2η̄), où r(2η̄) = √r12 + r22 − 2r1r2 cos 2η̄.

·   c4 : Minutes proportionnelles. c4 = cmax(2η̄) − cmcM − cm, où sin cmax(2η̄) = r(2η̄)R, cm = cmax(0°), et cM = cmax(180°).

·   c5 : Prostaphérèse du premier épicycle. sin c5 = r sin αR2 + r2 + 2Rr cos α, où exceptionnellement R = 100 000 et r = 8 604.

·   c6 : Excès . Tout comme dans la théorie solaire, se calcule par étapes : tan c6max = emax sin αR + emax cos α, où emax = r1 + r2, emin = r1 − r2, et R = 10 000 à nouveau, puis tan c6min = emin sin αR + emin cos α, et enfin c6 = c6max − c6min.

·   c7 : Latitude. L’argument est ici la latitude trouvée dans le tableau de la latitude précédemment mentionnée (ω̅), à laquelle on a ajouté c(α, 2η̄) = c5(α) + c4(2η̄) · c6(α), où α = α̅ + c3. On a donc ω = ω̅ + c(α, 2η̄). Puis la latitude β = c7(ω) = arcsin (cos ω sin 5°).

Nombres
communs
Prostaphérèse du
second épicycle
Minutes
propor-
tionnelles
Prostaphérèse du
premier épicycle
ExcèsLatitude Nombres
communs
Prostaphérèse du
second épicycle
Minutes
propor-
tionnelles
Prostaphérèse du
premier épicycle
ExcèsLatitude
°°°°°° °°°°°°
335705000014007500 93267120335456243016
635413900028014458 96264115236456244031
935122800043021456 99261114038455245047
1234831601057028453 102258112639454245102
1534540301111034450 105255111141452245118
1834244802124041445 108252105442448244133
2133953203138048440 111249103643444243147
2433661503151055434 114246101745439241202
2733365604205101427 11724395746434239216
3033073405218108420 12024093547427236230
3332781106230114412 12323791348420233243
3632484507242121403 12623484950412229256
3932191708254127353 12923182451403225309
4231894609306133343 13222875952353220321
45315101311317139332 13522573353342214332
48312103812328145321 13822270654331208343
51309110013338150309 14121963854319202353
54306111915347156256 14421661055307155403
57303113616357201243 14721354156253147412
60300115118405206230 15021051257240139420
63297120319413211216 15320744257225131427
66294121321421215202 15620441258211122434
69291122022427219147 15920134158155112440
72288122524433224133 16219831059140103445
75285122825439227118 16519523959123053450
78282122927444231102 16819220759107043453
81279122729448234047 17118913660051032456
84276122430451237031 17418610460034021458
87273121932453239016 17718303260017011500
90270121133455241000 18018000060000000500
3. Erreurs dans le tableau des prostaphérèses de Copernic.
Erreur (′) Nombres communs (°) 0 15 30 45 60 75 90 105 120 135 150 165 180 −04 −02 00 02 04 c3 c4 c5 c6 c7

Tableau de la parallaxe solaire et lunaire

4. L’instrument parallactique de Copernic · Inspiré de Ptolémée et d’al-⁠Battānī, cet instrument, aussi appelé triquetrum, servait à mesurer la hauteur des objets dans le ciel. Suspendu à gauche est un fil à plomb servant à assurer la mise au niveau de l’instrument. L’instrument de Copernic était muni de pentures lui permettant de tourner de gauche à droite. La corde de l’angle mesuré était lue sur la graduation du bâton inférieur. Un des triquetra de Copernic fut donné à Tycho Brahe, mais fut détruit avec le reste des instruments de l’astronome danois lors de la guerre de Trente Ans. Modèle 3D réalisé avec la suite Creative Cloud d’Adobe. Cliquer sur l’image pour en voir une plus grande version (dans une nouvelle fenêtre).

La parallaxe solaire et lunaire est la différence entre la position calculée et la position observée. Puisque ces deux astres sont situés à une distance relativement faible de la Terre — surtout dans le cas de la Lune —, leur position varie quelque peu selon l’endroit où on se trouve sur la Terre. Grâce à des mesures réalisées avec un instrument parallactique ou triquetrum, Copernic détermine que la parallaxe lunaire est plus faible que ce qu’avait noté Ptolémée, mais selon Swerdlow et Neugebauer (1984), le gain obtenu en observant d’une latitude plus élevée est quelque peu réduit par l’augmentation des effets de la réfraction atmosphérique, la Lune étant plus basse sur l’horizon à Frombork qu’à Alexandrie.

Estimant la distance moyenne du Soleil à s = 1 142 rayons terrestres, Copernic calcule sa parallaxe avec la formule sin p = sin ζs − cos ζ, où ζ est sa distance zénithale, soit l’angle zénith—observateur—Soleil. Cette valeur est tabulée dans la troisième colonne du tableau, sauf que l’argument doit être divisé par 2, vu que c3 = p(2ζ). Par exemple, la valeur pour 6° est pour 2ζ = 6° et non pour ζ = 6°.

Pour ce qui est de la parallaxe lunaire, on trouve quatre colonnes : la différence à soustraire de la parallaxe lunaire à la deuxième limite pour obtenir celle à la première limite ; la parallaxe lunaire à la deuxième limite ; la parallaxe lunaire à la troisième limite ; et la différence à ajouter à la parallaxe lunaire à la troisième limite pour obtenir celle à la quatrième limite. Ces « limites » correspondent à des positions de la Lune : estimant la distance moyenne de la Lune à 60;18 rayons terrestres , Copernic détermine la distance de la Lune à ces quatre endroits comme suit :

Position2η̄α̅Distance
1. quadrature180°68;20 rayons terrestres
2. quadrature65;30 rayons terrestres
3. quadrature180°55;08 rayons terrestres
4. quadrature180°180°52;17 rayons terrestres

Ces distances seront utilisées avec la même formule que pour le Soleil, en les substituant à s = 1 142. On aura donc, par exemple, pour la troisième limite, sin p3 = sin ζ55;08 − cos ζ. Donc, dans le tableau de la parallaxe solaire et lunaire, nous aurons c4(2ζ) = p2(2ζ) − p1(2ζ) ; c5(2ζ) = p2(2ζ) ; c6(2ζ) = p3(2ζ) ; et c7(2ζ) = p4(2ζ) − p3(2ζ).

B B′ C₁ C₂ C₂′ E P P′ 2η̄ 2η̄ r₁ r₂ R Adapté de Swerdlow et Neugebauer (1984), p. 608

Afin de calculer c8(2ζ), nous devrons nous référer au diagramme ci-⁠contre, où E est la Terre ; C1 est le centre du grand épicycle ; C2 et C2 sont deux positions du petit épicycle à α̅ = 0° et α̅′ = 180°, respectivement ; et P et P′ sont deux positions de la Lune. On a alors

c8(2η̄) = EP − EB2r2.

Or,

sin c3(2η̄) = r2 sin 2η̄r,

et EP = √R2 + r2 + 2Rr cos c3(2η̄) de même que EP′ = √R2 + r2 − 2Rr cos c3(2η̄). La colonne donne le résultat arrondi à la minute près, avec 60 dans les dernières rangées pour 60′ = 1°.

Swerdlow et Neugebauer (1984) indiquent que Copernic a suivi une autre méthode, longue et laborieuse, qu’il explique en détail, mais que sa démonstration est truffée d’erreurs de calcul, et qui s’avère inutile puisqu’il conclut en disant qu’on peut utiliser le même calcul que la colonne 4 de la prostaphérèse lunaire sans risque d’erreur.

Enfin, pour calculer la dernière colonne, on a c9(α) = R + r − ρ2r, où r = r1 − r2 et ρ = √R2 + r2 + 2Rr cos α.

Nombres communsParallaxe solaireDifférence à soustraire de la parallaxe lunaire à la seconde limite pour obtenir celle à la première limiteParallaxe lunaire à la seconde limiteParallaxe lunaire à la troisième limiteDifférence à ajouter à la parallaxe lunaire à la troisième limite pour obtenir celle à la quatrième limiteMinutes proportionnelles
Petit épicycleGrand épicycle
°°°°°
635400900724731901100
1234801901453463802211
1834202802182095603321
243360380281105131204432
303300470351347162605554
363240560421627193610575
423181050481905224411697
4831211405521392547126129
54306122101240928461361512
60300130107263631401451814
66294138113285734291552117
72288146119311437122042420
78282154124332639482122723
84276201129353142182203026
90270208134373144402283329
96264214139392446542353632
102258220143411149012423935
108252226148425150592494238
114246232151442352492554541
120240236155454854303004744
126234241158470656013055047
132228245201481557233095249
138222249203491658363135452
144216252205500959383165554
150210255207505460313195756
156204257209513061133215857
162198258210515861463235958
168192300210521762083245959
174186300211522762203246060
180180301211522962213246060
5. Erreurs dans le tableau de la parallaxe solaire et lunaire de Copernic · Afin d’augmenter la lisibilité, les points sont légèrement décalés horizontalement pour une même rangée du tableau.
Erreur (′) Nombres communs (°) 0 30 60 90 120 150 180 −08 −06 −04 −02 00 02 04 06 08 10 c3 c4 c5 c6 c7 c8 c9

Tableau du rayon du Soleil, de la Lune, et de l’ombre terrestre

Dans le même Chapitre 24 du Livre 4 de De revolutionibus, on trouve un tableau indiquant la taille apparente des deux grands astres ainsi que de l’ombre de la Terre. Dans celui-⁠ci, les « nombres communs » sont l’anomalie vraie du Soleil ou de la Lune. La troisième colonne donne le rayon apparent du Soleil, calculé par c3(αS) = 0;15,50° + g · 0;01,07°, où g = ρ − (R − r)2r, et où ρ = √R2 + r2 − 2Rr cos α. Pour le Soleil, r est le rayon de l’épicycle ou l’excentricité équivalente, soit 323 unités. Swerdlow et Neugebauer (1984) indiquent avoir « testé la colonne, [et calculé] ρ et g à partir de r = e = 323, et la plus grande différence [avec les] valeurs tabulées est ±0;0,1°, ce qui est probablement le résultat de l’arrondissement » .

La procédure de calcul pour la quatrième colonne, qui est la taille apparente de la Lune, est la même, mais cette fois, on a plutôt r = r1 − r2 = 1097 − 237 = 860, et c4 = 0;15° + g · 0;02,49°.

La valeur de la cinquième colonne correspond simplement à 403150 · c4. Enfin, la valeur de la sixième colonne correspond à c6 = g · 0;00,57°, où g est retenu des fonctions mentionnées ci-⁠dessus pour le Soleil (puisque c’est lui qui cause l’ombre terrestre) ; le résultat du calcul est en degrés, mais la colonne indique les minutes.

Nombres communsRayon du SoleilRayon de la LuneRayon de l’ombreVariation de l’ombre Nombres communsRayon du SoleilRayon de la LuneRayon de l’ombreVariation de l’ombre
°° °°
63541550150040190 96264162816374438-1
123481551150240231 102258163116454501-2
183421552150440291 108252163416544524-2
243361553150840383 114246163817024545-1
303301555151240494 120240164117094606-1
363241557151741036 126234164417164625-1
423181559152241188 132228164617234642-1
4831216011529413510 138222164917294658-1
5430616041536415412 144216165117344712-1
6030016071543421415 150210165317394724-0
6629416101551423617 156204165417424734-1
7228816141600425820 162198165517454742-1
7828216171608432123 168192165617474747-0
8427616211617434526 174186165717494751-1
9027016241626440929 180180165717494752-0
6. Erreurs dans le tableau du diamètre apparent du Soleil, de la Lune, et de l’ombre terrestre de Copernic · ATTENTION : L’erreur pour l’ombre doit se lire avec l’échelle de droite, vu qu’elle est plus considérable que les autres.
Erreur (″) Erreur (″) (ombre) Nombres communs (°) 0 30 60 90 120 150 180 −08 −32 −06 −04 −16 −02 00 00 02 04 16 06 Soleil Lune ombre variation

Tableau des conjonctions et oppositions

Le dernier tableau du Livre 4 est celui des conjonctions et oppositions du Soleil et de la Lune. Il redonne le mouvement moyen, en anomalie et en latitude (pour la Lune), de chaque astre pour zéro à 12 mois lunaires ainsi que pour un demi-mois lunaire. Swerdlow et Neugebauer (1984) font remarquer que les valeurs du tableau ne sont toutefois pas les mêmes que données ailleurs dans l’ouvrage ou dans le manuscrit, ce qu’ils n’arrivent pas à expliquer. De plus, l’addition des termes ne correspond pas toujours à la valeur donnée…

Je reprends donc ici le tableau intégral de Copernic. Les termes aujourd’hui inhabituels « minutes de jour », « secondes de jour », et « soixantièmes de seconde de jour » désignent respectivement la soixantième, la trois-mille-six-cents-soixantième, et la deux-cents-seize-millière parties du jour, soit 24 minutes, 24 secondes, et 0,4 seconde.

MoisTemps partielsMouvement moyen de la Lune en anomalieMouvement moyen de la Lune en latitude
JoursMinutes de jourSecondes de jourSoixan­tièmes de seconde de jour60°°60°°
129315090254900304014
25934018051380112028
388353027117271132042
411872036143161224056
514739104529522332110
61771105423454234124
720642513304323344138
8236144112326323452152
926546312135221343626
10295182130418103564220
113245011394435945372234
12354221485948408248
Demi-mois
 1445553125430315207
Mouvement du Soleil en anomalie
Mois60°° Mois60°°
10296187323447
2058123683525025
3127185494215643
415625121045131
5225313111520920
62543749125491538
Demi-mois
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Dernière mise à jour : 2024-07-17 à 00 h 51 UTC